L’esthétique des coupés audi a toujours été très controversée. Le coupé GT qui vient de subir un salutaire restyling n’est, il est vrai, pas un chef d’œuvre mais a au moins le mérite de casser avec le style "mastoc" que la marque aux anneaux nous a imposé ses dernières années.

Sa ligne imposante fait de ce modèle un véritable coupé à vivre avec quatre vraies places et un coffre suffisamment spacieux pour y installer les bagages qui vont avec.

 

 Côté motorisation, vous avez le choix, comme pour la berline entre deux 5 cylindres de 2 litres (115 chevaux) et 2,2 litres (136 chevaux), la transmission intégrale maison étant réservée au "gros" moteur.

Au volant vous serez enchantés par la sonorité rauque caractéristique des moteurs "impairs" (5 cylindres) et par l’agrément de conduite exceptionnel que vous procure la puissance du moteur alliée à une transmission sportive qui frôle la perfection.

Seule ombre au tableau: le freinage qui manque singulièrement d’endurance.

le tableau de bord du GT ou si dessus du quattro et très rustique ,d'un style plutot carré, mais relativement complet.

QUATTRO

 Audi initie la transmition intégrale en rallye au début des années 80. 
en 1981 la première quattro de série construite à la main et bénéfique pour l'homologation en groupe B sort des ateliers d'assemblage. 
 Il sagit de la ur quattro qui se reconnait principalement à ces ailes plus travaillées qui ressorte d'avantage, d'un compteur digital, rare pour l'époque. Elle est doté d'un turbo monté à une pression de 0.85 bar et une culasse fonte de 10 soupapes se qui lui donne une puissance de 200 ch à 5500 tr/min.           
 en 1986 audi lance le coupé GT quattro 5 cylindres 2.2 136 ch plus abordable que sa soeur ainée.
Mais pour les puristes se coupé n'est pas la vraie quattro, il n'est pas doté d'un turbo et n'a rien de sportif,
la vraie quattro, étant nommée UR QUATTRO en allemand.